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Cinéma: Jean Rochefort en 5 films cultes
information fournie par Webedia 10/10/2017 à 06:30

Cinéma : Jean Rochefort en 5 films cultes (Crédits photo : Adobe Stock)

Cinéma : Jean Rochefort en 5 films cultes (Crédits photo : Adobe Stock)

Élégant, drôle, flegmatique, grandiloquent, burlesque... Les qualificatifs ne manquent à l'évocation de Jean Rochefort. Plutôt rare sur les écrans depuis quelques années, cette grande figure du cinéma français s'en est allée dans la nuit du 8 au 9 octobre à l'âge de 87 ans. Adepte des bons mots, il laisse derrière lui des citations savoureuses à déguster sans modération. Mais surtout, il restera dans les mémoires comme l'une des plus grandes figures du cinéma français du 20e siècle. Nous vous proposons de revenir sur sa belle carrière en 5 films cultes.

"Le Grand Blond avec une chaussure noire" (1972)

Jean Rochefort fut d'abord un homme de théâtre, avant de débuter au cinéma dans "Rencontres à Paris" en 1956. Avec son physique très "vieille France", on le retrouve ensuite dans une pléiade de films d'époque. Mais dans les années 1970, ses collaborations avec le réalisateur Yves Robert vont en faire une star de la comédie sur grand écran. Si l'on devait retenir un seul film de cette période, il s'agirait sans aucun doute du "Grand Blond avec une chaussure noire", où il partage l'affiche avec Pierre Richard, Bernard Blier et Mireille Darc. Un classique !

"Un éléphant, ça trompe énormément" (1976)

Avec trois millions d'entrées, "Un éléphant, ça trompe énormément" a conquis le public français des années 1970. Des spectateurs fascinés par le personnage d'Étienne Dorsay qu'il campe à l'écran, et surtout par la succession de gags, de quiproquos et autres situations cocasses rythmant le film.

"Le Crabe-tambour" (1977)

Alors qu'il enchaîne les comédies, Jean Rochefort va décrocher en 1978 le César du meilleur acteur pour un rôle à contre-emploi dans "Le Crabe-tambour", un drame militaire. Une véritable consécration après son César du meilleur acteur dans un second rôle reçu l'année précédente pour son interprétation de l'abbé Dubois dans "Que la fête commence".

"Tandem" (1987)

Après avoir enchaîné les comédies populaires dans les années 1970, Jean Rochefort s'essaie à d'autres styles. On le trouve alors à l'affiche d'un film policier en 1981 ("Il faut tuer Birgitt Haas"), d'un ovni comico-horrifique en 1984 ("Frankenstein 90"), ou encore d'un drame en 1989 ("Je suis le seigneur du château"). Si "Tandem", sorti en 1987, est connu pour être le premier film de Gérard Jugnot sans sa célèbre moustache, celle de Jean Rochefort est bien présente à l'écran. Ouf !

"Lost in La Mancha" (2003)

L'échec du tounage du film sur Don Quichotte, qu'il devait interpréter sous la direction de Terry Gilliam, restera comme l'un de ses plus grands regrets. Il éprouvait même du remords à avoir contribué à faire capoter ce long-métrage...  Pourtant, il ne pouvait pas prévoir de se faire opérer d'une double hernie discale en plein tournage. Dommage, car il aurait pu se targuer d'avoir campé un grand personnage dans une production internationale. Cette succession de catastrophes a quand même donné naissance à un documentaire sorti en 2003, "Lost in La Mancha". Quant au film, baptisé "L'homme qui tua Don Quichotte", il devrait enfin sortir au cinéma en mai prochain.

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