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4 films très confinés à voir pour relativiser
information fournie par Le Particulier pour Conso 21/04/2020 à 07:30

4 films très confinés à voir pour relativiser (Crédits photo : Shutterstock)

4 films très confinés à voir pour relativiser (Crédits photo : Shutterstock)

On ne rêverait que d’une chose, c’est de pouvoir sortir pour prendre l’air comme on veut toute la journée. En ce printemps du confinement, nous voilà contraints et enfermés. Alors pour relativiser, voici quatre films incontournables du genre. Leur point commun : une intrigue se déroulant en un lieu complètement fermé. Room, Cube, La Plateforme, Panic Room : 4 films à huis clos pour faire monter l’adrénaline au maximum.

Room : le monde dans une pièce

Dans ce film intimiste (2015), le petit Jack, grandit dans une chambre dont il n’est jamais sorti, accompagné de sa mère. Pour l’enfant, le monde s’arrête à ces quatre murs. Sa mère, qu’il surnomme Ma, est en réalité séquestrée par un homme depuis des années.

La quasi-totalité du film se passe dans cette pièce rudimentaire, où se trouve un lit, des toilettes, une baignoire, un placard et une petite kitchenette. À l’occasion des cinq ans de Jack, sa mère tente de lui expliquer qu’il existe un extérieur et de monter un plan pour s’enfuir.

Réalisé par Lenny Abrahamson, Room prend aux tripes, porté par Brie Larson, ayant remporté l’Oscar de la meilleure actrice grâce à ce rôle. Une récompense on ne peut plus méritée.

Cube : un labyrinthe mortel

C’est une œuvre culte. En 1999, Cube sortait au cinéma. Cinq personnes, sans en connaître la raison, se retrouvent enfermés ensemble dans une prison étrange, véritable labyrinthe, dans lequel chaque pièce, en forme de cube, est remplie de pièges mortels.

Confinés ensemble, nos cinq personnages n’ont d’autre choix que de travailler ensemble, malgré les conflits et tensions grandissants, afin de tenter de s’échapper. De quoi relativiser son propre confinement.

La Plateforme : horreur espagnole en prison

Disponible sur Netflix, ce thriller d’épouvante espagnol, clairement inspiré de Cube, nous projette dans une prison en forme de tour. On y suit Goreng, qui se réveille enfermé. On lui explique alors que dans ce lieu, la nourriture est donnée aux étages supérieurs et descend progressivement jusqu’à l’étage le plus bas. Les derniers prisonniers servis recevront uniquement les vivres que leurs voisins du dessus ont bien voulu leur laisser.

Chaque semaine, les prisonniers changent d’étage. Le problème : ceux du haut se jettent sur la nourriture, ne laissant plus rien à ceux d’en bas. Une critique effrayante, mais bien vue, du capitalisme.

Panic Room : protection et enfermement

Le confinement permet aussi de se sauver. Meg, jouée par Jodie Foster, emménage à New York, dans un quartier huppé, avec sa fille Sarah (le premier rôle important de Kristen Stewart). Au dernier étage, le propriétaire précédent a fait construire une pièce de sûreté, où se réfugier en cas de besoin.

De quoi faire presque sourire la nouvelle occupante des lieux, qui y trouve néanmoins rapidement une utilité : trois cambrioleurs pénètrent dans la maison le soir même, à la recherche de millions de dollars cachés par l’ancien propriétaire. Meg et Sarah se confinent dans la « panic room », pour se protéger. Problème : l’argent se trouve justement dans cette pièce. Ce thriller haletant a été réalisé par David Fincher (Fight Club, Seven, Zodiac…) et est sorti en 2002.

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