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Horlogerie : la saga Parmigiani Fleurier
information fournie par Webedia 24/02/2018 à 09:00
Temps de lecture: 1 min

Horlogerie : la saga Parmigiani Fleurier (Crédits photo : Adobe Stock)

Horlogerie : la saga Parmigiani Fleurier (Crédits photo : Adobe Stock)

Créée en 1996, Parmigiani Fleurier ne fait pas partie de ces marques centenaires symboles d’un savoir-faire inébranlable. Pourtant, la marque suisse s’est rapidement imposée parmi les grands noms de la haute horlogerie . Retour sur l’histoire d’une marque à la réputation solide. En 1998, deux ans après avoir racheté la majorité des parts de la société Parmigiani Mesure et Art du temps, la nouvelle marque dévoile sa première montre entièrement manufacturée sous le nom de Parmigiani Fleurier. Ce modèle nommé Calibre 110 sera suivi par le 331 en 2001 (aussi appelé Kapla, il s’agit d’un des modèles les plus emblématiques de la marque), puis le 333 en 2002 et le Calibre 500 en 2004.

Quand l’horlogerie de luxe rencontre le sport

En 2004, Parmigiani Fleurier entame une première collaboration avec le constructeur automobile Bugatti en fabriquant la Type 370, une montre-bracelet au mouvement mécanique transversal. Par la suite, les deux marques collaboreront plusieurs fois pour donner naissance à des modèles époustouflants comme La Bugatti Super Sport , qui fait partie des plus belles montres de Parmigiani Fleurier. La Maison s'intéresse également au football. Elle a notamment été sponsor officiel de la Fédération brésilienne de football (CBF) de 2011 à 2016. S'affichant au poignet des grands joueurs, la marque a ainsi renforcé sa réputation à l’étranger. Parmigiani Fleurier, qui a remporté deux trophées au Grand Prix d'Horlogerie de Genève 2017, fabrique environ 4 000 montres par an actuellement. Ces modèles, qui s'adressent aux hommes comme aux femmes, séduisent à l'international : 40 % d'entre eux sont vendus en Europe, 30 % en Asie, 20 % au Moyen-Orient et 10 % dans le reste du monde.