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Pire que le ghosting : l'orbiting
information fournie par Webedia23/08/2018 à 07:00
Temps de lecture: 1 min

Pire que le ghosting : l'orbiting (Crédits photo : Adobe Stock)

Pire que le ghosting : l'orbiting (Crédits photo : Adobe Stock)

Minuit sonne. À l’heure de vous coucher, un “xxxx a aimé votre photo” retient votre attention sur votre smartphone. Il s’agit de Romain, cet ex un peu louche qui vous a quitté au bout de trois mois de relation. Ou de Thomas, le rencard avec lequel vous avez accroché il y a quelques semaines mais qui ne vous a plus donné de nouvelles. La pratique a désormais un nom : il s’agit de l’orbiting. Dans la même lignée que le ghosting, qui consiste à mettre un terme à une relation en disparaissant sans laisser de contact, l’orbiting fait partie de ces nouvelles pratiques qui définissent la fin d’un couple ou d’une relation. Il a été popularisé par la journaliste Anna Lovine, qui en a fait les frais plus d’une fois.

“Confus et perturbant”

Interrogée par la chaîne NBC sur les tenants et les aboutissants d’un tel acte, la psychologue américaine explique : “Avant, nous avions les tabloïds, puis la télé-réalité. Maintenant les réseaux sociaux sont la télé-réalité de nos connaissances (...) Ça peut être une manière inconsciente de dire ‘Hey je suis là’ en espérant que l’attention sera rendue”. Et de préciser que l’orbiting peut s’avérer confus et perturbant pour toute personne victime de cet acte. Vous êtes concerné par cette démarche un peu douteuse ? Votre date de Tinder ne vous adresse plus la parole mais continue de présenter des signes de vie sur votre Instagram ou Twitter ? Plutôt que de le laisser orbiter autour de votre moi numérique, et si vous songiez à le bloquer ?